Le titre est un coup de poing, on s’attend à un essai critique à l’acide, il n’en est rien même si le renoncement à être un homme -ou plus précisément : aux privilèges que les hommes ont dans une société- résonne fermement, sans concession, tout au long de l’ouvrage, essentiellement sur la facette de la sexualité.
Le mot “genre” n’est pas utilisé car le livre est trop vieux pour ça, mais l’on gravite fortement autour.
John Stoltenberg charge fortement l’industrie pornographique, qu’il voudrait voir disparaitre (ou disparaitre de sa forme actuelle (de 1990)). Il est également abolitionniste.
Un avertissement est nécessaire: La préface écrite par Martin Dufresne est transphobe, vous pouvez vous passer de cette lecture.
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Pour aller plus loin (Crêpe Georgette)
Pour aller plus loin (Entre les lignes et entre les mots)
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